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La sexualité biblique... saine, sainte et voulue de Dieu !

Série : Éthique chrétienne - Partie 5


Le contexte et la nécessité du message

La sexualité est souvent négligée dans l’enseignement chrétien, bien qu’elle soit au cœur de la vie humaine. Dans une culture où le sexe est banalisé et perçu comme un simple besoin ou un divertissement, la vision divine a été déformée. La société et les forces spirituelles opposées à Dieu cherchent à convaincre que le bonheur dépend d’une sexualité sans limites. Or, cette illusion conduit à l’esclavage intérieur et à la destruction. La Parole de Dieu, au contraire, révèle que la sexualité a été donnée pour le bien de l’être humain, dans un cadre de sainteté et d’amour.


couple amoureux

Le piège du péché sexuel

Le péché agit comme un appât séduisant mais fatal : il attire, promet une satisfaction immédiate, puis détruit celui qui s’y adonne. Romains 6:16 enseigne que l’on devient esclave de ce à quoi l’on obéit, et 1 Corinthiens 6:18 exhorte à « fuir l’immoralité sexuelle ». Les conséquences du péché sexuel touchent à la fois le corps et l’esprit. La pureté, quant à elle, protège la dignité, l’âme et la communion avec Dieu.


Une illustration frappante : les loups et la tentation du péché

Pour illustrer la nature trompeuse du péché sexuel, voici une histoire sur les Esquimaux et les loups. Les Esquimaux affûtent une lame, la recouvrent de sang qu’ils laissent geler, et la plantent dans la neige. Attirés par l’odeur, les loups lèchent le sang jusqu’à se couper la langue, finissant par boire leur propre sang sans s’en rendre compte et mourir de faim. De la même manière, le péché attire, séduit, nourrit une faim trompeuse. Mais à force de s’y complaire, on finit par se détruire soi-même. Romains 6:16 et 1 Corinthiens 6:18 nous rappellent que le péché sexuel a des conséquences spirituelles et physiques, et que le croyant doit « fuir l’immoralité sexuelle » plutôt que de la tolérer.


L’éthique biblique de la sexualité

La Bible est claire et sans ambiguïté. Galates 5 identifie trois catégories de péché sexuel :

  • L’impudicité (porneia) : toute relation sexuelle hors du mariage, l’adultère, l’inceste ou la fornication.

  • L’impureté (akatharsia) : les comportements dégradants qui salissent le corps et l’esprit.

  • La dissolution (aselgeia) : la débauche et la perte de maîtrise.

Ceux qui vivent dans ces pratiques refusent l’ordre divin et s’excluent eux-mêmes du Royaume de Dieu.


Ce que la Parole de Dieu condamne

L’Écriture rejette toute forme d’union ou de pratique sexuelle contraire à la sainteté : l’adultère, la fornication, les relations avec des prostituées, l’inceste, la pédophilie, la bestialité, les relations homosexuelles, la pornographie, la polygamie, le polyamour et les pratiques violentes ou humiliantes. Ces comportements profanent la conception divine du corps et pervertissent le but originel de la sexualité : l’amour, la fidélité et le respect mutuel.


Dieu, créateur et auteur de la sexualité

La sexualité humaine est un don de Dieu. Elle ne résulte pas du péché, mais de la création même. Dieu a formé l’homme et la femme pour se compléter et refléter Son image dans leur union. Réduire la sexualité à un instinct animal revient à nier la nature spirituelle de l’être humain, porteur du souffle divin (Genèse 2:7). Loin de Dieu, l’homme perd son sens et se vide de vie spirituelle ; en Dieu, la sexualité retrouve sa beauté, sa profondeur et son but.


La sexualité célébrée dans le mariage

Loin de condamner le plaisir, la Bible le célèbre dans le cadre du mariage. Le Cantique des Cantiques décrit avec poésie la tendresse et le désir entre époux. Proverbes 5:18-19 exhorte l’homme à se réjouir avec la femme de sa jeunesse. Le plaisir sexuel, vécu dans l’amour et la fidélité, glorifie Dieu. Ainsi, le mariage devient le seul espace où la sexualité trouve sa pleine signification : union physique, émotionnelle et spirituelle ; expression d’amour, de don et de service mutuel ; et acte d’obéissance à Dieu.


Le mariage, une alliance sacrée

Selon 1 Corinthiens 7, le mariage est une alliance devant Dieu, non une simple formalité légale. Les époux s’appartiennent mutuellement, se respectent, se soutiennent et se pardonnent. Ils ne doivent pas se priver l’un de l’autre, sauf d’un commun accord pour un temps de prière. La sexualité conjugale devient ainsi un moyen de protection contre la tentation et un lieu d’intimité spirituelle. Le mariage représente l’amour de Christ pour son Église : fidèle, pur et indestructible.


La sanctification et la maîtrise de soi

Colossiens 3:5-7 appelle le croyant à « faire mourir ce qui appartient à la chair ». Vivre la sexualité selon Dieu exige discipline, obéissance et dépendance envers le Saint-Esprit. Celui-ci donne la force de résister à la tentation, mais la décision de marcher dans la pureté appartient à chacun. La sexualité vécue dans la fidélité devient un outil de sanctification : la chasteté avant le mariage, la fidélité dans le mariage et le respect du corps comme temple du Saint-Esprit.


Un appel à la repentance et à la restauration

Dieu offre la possibilité du pardon et de la transformation à quiconque se repent. Celui qui a vécu dans le désordre sexuel peut être purifié, rétabli et renouvelé. Il suffit de reconnaître sa faute, de la confesser et de revenir à la vérité de la Parole. La prière devient alors une consécration : « Seigneur, aide-moi à t’honorer avec mon corps, mes pensées et mes désirs. »


La foi mise en pratique

Le diable se fiche que vous alliez à l’église ou que vous lisiez la Bible, tant que votre vie ne change pas. La vraie foi ne se mesure pas à la fréquentation religieuse ni à la connaissance biblique, mais à l’obéissance. Dieu désire un peuple qui vit Sa Parole dans tous les domaines de la vie, y compris la sexualité. Le principe fondamental demeure : Dieu est pour le sexe. Le sexe est pour le mariage. Le mariage est pour la vie. Et la vie est pour Christ.


Synthèse finale

L’enseignement biblique sur la sexualité se résume ainsi :

  • Elle est voulue par Dieu, bonne et belle dans Son cadre.

  • Elle devient destructrice lorsqu’elle s’éloigne de Son plan.

  • Elle unit, sanctifie et fortifie les liens conjugaux.

  • Elle appelle à la pureté, la fidélité et la consécration.

Vivre une sexualité sainte, c’est reconnaître que notre corps et nos désirs appartiennent à Dieu. Ainsi, chaque dimension de notre existence — même la plus intime — devient un moyen de glorifier le Créateur.


Article rédigé par ChatGPT à partir du message du pasteur Gilles Adams


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