Notre blogue

Dans l’union avec Christ, en sa mort, nous avons coupé le lien qui nous gardait dans le règne du péché.

L’existence de Dieu détermine l’issue de l’Éthique. Qui dicte ce qui est bien ou mal si Dieu n’existe pas ? Il ne reste que l’homme et sa relativité.

Le mot majesté signifie grandeur. Reconnaître la majesté de quelqu’un, c’est lui démontrer du respect et reconnaître sa grandeur. Pour nous, chrétiens, la majesté est celle de Dieu, notre Créateur et Sauveur. Il est au-dessus de tout.

Les jugements prononcés par les prophètes ne reflètent pas un Dieu capricieux ou méchant, mais la justice d’un Dieu fidèle à son alliance.

Ce que Paul demande pour le développement de l’église de Philippe est une croyance dans l’amour qui ne peut qu’impliquer la personne de l’Esprit, comme ce fut le cas dans l’église des Colossiens (1.8).

Toute décision, doctrine, conduite éthique doit être en harmonie avec la personne et l’œuvre de Jésus-Christ le SEIGNEUR.

Christ est le fiancé, l’Époux céleste, qui s’unit si intimement à l’Église que tous deux ne forment plus qu’une seule chair.

Alors, « Pécherions-nous, parce que nous sommes, non sous la loi, mais sous la grâce ? » L’apôtre répond : « Loin de là ! » Nous sommes maintenant des esclaves de Christ, sous le régime de la grâce et de l’Esprit.

L’action du Saint-Esprit repose sur l’œuvre accomplie de notre Seigneur Jésus-Christ.

Même si tu ne sais pas comment Dieu est impliqué dans les événements bons ou mauvais qui t’arriveront en 2025, fais-lui confiance.