Notre blogue

Dieu ne cherche pas des héros parfaits, mais des cœurs disponibles. Luc Dumont rappelle que chaque appel de Dieu commence souvent dans la faiblesse, comme pour Moïse, Gédéon ou Jérémie. « Dieu ne te demande pas ce que tu as, mais ce que tu es prêt à Lui donner. » Répondre à l'appel de Dieu, c’est accepter d’être façonné, corrigé, transformé pour un dessein plus grand que soi.

Avant même ta naissance, Dieu t’a voulu. Ton apparence, tes dons, ton histoire — rien n’est accidentel.

Et si la vraie liberté n’était pas de « faire ce qui me plaît », mais de me donner corps et âme à Dieu ? Ce message explore la consécration : non pas un effort épuisant, mais une vie transformée par la Parole, portée par l’exemple de Daniel, équilibrée par le repos (physique et intérieur) et mise en mouvement par la compassion de Jésus. Objectif : que chaque croyant passe du « correct » au meilleur, en vivant pour la gloire du Roi.

Les jugements prononcés par les prophètes ne reflètent pas un Dieu capricieux ou méchant, mais la justice d’un Dieu fidèle à son alliance.

« Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres » (Jean 8.32).  Comment comprendre que Jésus nous parle d’une vérité qui rend libre?  Quelle est cette vérité et de quoi nous libère-t-elle?

Dieu nous parle encore aujourd'hui, et il le fait de bien des manières. Il ne s'agit pas toujours d'une voix audible, mais souvent d'un éclairage intérieur, d'une conviction, ou d'une parole qui vient toucher notre cœur au bon moment.

Notre Seigneur souhaite marcher avec nous comme Il l’a fait sur la route d’Emmaüs et Il souhaite aussi que nous voulions marcher avec Lui. Avoir un parcours de vie animé par la foi, c’est faisable et ça s’apprend.

Nous qui sommes sauvés, nous croyons à l’inspiration des Écritures. Elle est nécessaire pour l’accomplissement de notre mission.

Alors, « Pécherions-nous, parce que nous sommes, non sous la loi, mais sous la grâce ? » L’apôtre répond : « Loin de là ! » Nous sommes maintenant des esclaves de Christ, sous le régime de la grâce et de l’Esprit.

Qu’il y ait sur moi une double part de ton esprit !

Paul pose l’existence de deux groupes « ceux qui sont de la Chair et ceux qui sont de l’Esprit ».

Le mot spirituel ne se réfère pas à ce que je suis dans mon essence, mais à ce à quoi j'appartiens.